Raison d'être

LA VISION

Faire émerger un Nouveau Type de Sénégalais (NTS). Ce citoyen qui, à travers les demandes impérieuses qu’il formule et adresse à l’État, aux acteurs politiques et à l’ensemble des acteurs sociaux, devrait porter le projet de transformation sociale en vue de bâtir une société de justice, d’équité, de droit, de paix et de progrès pour tous.

Amener l’élite politique à mieux prendre en compte les préoccupations des citoyens en érigeant la Bonne Gouvernance en règle de conduite dans la gestion des affaires publiques.

LES DOMAINES D'ACTIVITES

Ils correspondent à 5 chantiers majeurs :

– Formation à la citoyenneté (CHAFC)
– Renforcement et observation de la démocratie (CHROD)
– Chantier environnement et santé communautaire (CHESC)
– Chantier arts et cultures urbaines (CHACUR)
– Chantier entreprenariat, leadership et autopromotion (CHELA)

Origine

La période d’avant l’élection présidentielle de 2012 était caractérisée par une crise sociale : les coupures intempestives d’électricités, une cherté des denrées de premières nécessité, les crises scolaires etc.

C’est ainsi qu’un groupe de jeunes rappeurs et journalistes ont décidé de lancer le 18 janvier 2011, un mouvement citoyen dénommé Y’en A Marre.

Actions majeures
  • Mobilisation de masse pour le départ du président Abdoulaye Wade
  • Lancement du mouvement le 18 janvier 2011, dans la rue à travers une conférence de presse. Le caractère innovant de l’activité avec des journalistes et artistes engagés à susciter l’intérêt de la presse nationale et internationale qui a bien couvert l’événement et a donné un bon début de visibilité au mouvement ;
  • Campagne des mille plaintes contre le gouvernement, le 5 mars 2011. Le mouvement a invité les citoyens à prendre conscience de la responsabilité de l’Etat et par la même occasion de dénoncer les manquements et les dérives du régime à travers des plaintes (pétitions) ;
  • Action de rue contre le régime en place, le 19 mars. Le mouvement a organisé, parallèlement que le parti au pouvoir, un rassemblement pour célébrer l’anniversaire de la première alternance politique du pays 2000. Une mobilisation de jeunes pour tirer le bilan de désespoir au règne de Abdoulaye Wade ;
  • Campagne « Das Fanaal » (Se préparer pour un combat). Une sensibilisation des populations surtout à la base (quartiers populaires, villages) pour l’inscription sur les listes électorales pour la prochaine présidentielle de 2012. En avril 2011, avec des porte-à-porte dans les maisons et marchés, et des concerts le mouvement a beaucoup poussé les populations à s’inscrire sur les listes électorales et disposer d’une carte d’électeur pour avoir sa voix aux prochaines élections ;
  • Participation active à la grande mobilisation du 23 juin 2011, des forces vives (partis politiques d’opposition, société civile, personnalités indépendantes, citoyens engagés) du pays contre le projet de loi instituant l’élection simultanée, au suffrage universel direct, d’un président et d’un vice-président et aussi l’élection du ticket au quart bloquant (25% des voix)
  • Campagne « Faut pas forcer », une mobilisation à travers des marches pacifiques, des chansons pour appeler le président Abdoulaye Wade à renoncer à un troisième mandat contesté ;
  • Foire aux problèmes, une rencontre populaire avec les citoyens, les leaders politiques et la société civile pour dénoncer la souffrance chronique des populations;
  • Position de refus de boycott de l’élection présidentielle, à la veille du scrutin du 25 février 2012, le mouvement avait clairement affiché son opposition à toute forme de boycott. Il encourageait la participation massive des sénégalais et le vote contre Abdoulaye Wade qui voulait briguer un troisième mandat contesté.
  • Campagne « Dogali » (En finir), dans l’entre-deux-tours de la présidentielle de 2012, le mouvement a suivi sa logique d’amener les populations à tourner le dos à l’ancien président Abdoulaye Wade et à voter son adversaire au second tour Macky Sall
  • Campagne « Digué Borela » (la promesse est une dette) pour rappeler au nouveau président élu Macky Sall le respect de ses engagements de campagne électorale;
  • Campagne « Wakhe Ak Askanwi » (échanger avec la communauté) qui encourageait les échanges entre les élus et les citoyens pour mieux se comprendre et
  • Programme « Tabakh Euleuk » (construire le futur) qui décline les grands projets citoyens et économiques sur lesquels le mouvement avait décidé de se lancer pour le développement civique et social des communautés.
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